Mardi 19 novembre 2024, le Ministre des Postes, Télécommunications et Numérique, Augustin Kibassa Maliba a reçu en audience dans son cabinet de travail, l’Ambassadeur d’Algerie en poste en République démocratique du Congo, Dr Mohamed Yazid Bouzid. Celui-ci était venu annoncer au ministre congolais des PT-N, la tenue de la 3ème édition de la conférence ministérielle africaine qui aura lieu du 05 au 07 décembre 2024 en Algérie.
« Je suis venu spécialement pour informer au Ministre d’une invitation qui lui a été adressée pour participer aux travaux de la 3è édition de la conférence Ministérielle Africaine sur les startups qui aura lieu en Algerie du 05 au 07 décembre prochain », a déclaré le diplomate Algérien accrédité en RDC.
C’est une conférence à laquelle la RDC a toujours été invitée durant les dernières éditions. Dr Mohamed Yazid Bouzid dit compter sur la participation du Ministre Kibassa à cette nouvelle édition.
Signature du protocole d’accord entre Augustin Kibassa et Monacosat à Monaco
« Je souhaite vraiment que la RDC participe cette fois-ci au niveau ministériel pour la simple raison que le secteur des startup a un rôle très déterminant à jouer dans le cadre de la promotion de croissance économique et du développement de nos économies », a-t-il a rappelé.
L’hôte du patron des PT-N en RDC est sorti satisfait de l’entretient qu’il a eu avec Augustin Kibassa Maliba.
« J’ai eu l’assurance du Ministre quand à une réponse favorable à ce sujet et la RDC prendra part à cette 3ème édition de la conférence Ministérielle Africaine, le secteur des Postes, Télécommunications et numérique sera représenté. Cette conférence sera une opportunité d’échanger sur les bonnes pratiques devant nous permettre de renforcer le secteur de l’Entrepreneuriat et cela tombe bien, car nous sommes en pleine semaine mondiale de l’entrepreneuriat pendant la période du 18 au 22 novembre », a martelé le diplomate.
L’objectif principal de cette conférence est de permettre à la jeunesse du continent de s’impliquer dans le domaine de développement socioéconomique des pays africains et de permettre aux produits et services d’avoir un accès favorable sur le marché international.
